1988
polyuréthane et t.m.

1995
acryl, bois et t.m.

1995
acryl, bois et t.m.

2001
polyuréthane et plume
Restaurant La Vache qui vole, Martigny

2001
polyuréthane et plume
Restaurant La Vache qui vole, Martigny

2009
technique mixte
sur plâtre
160cm de diamètre

bois, fil de fer et acryl

2009
résine polychrome
30 x 50cm

2009
résine polychrome
180cm

2009
résine polychrome
180cm

2009
résine polychrome

2011
installation
bois, acryl, or et paille
230 x 80 x 80cm

La maison derviche C’est une maison perchée sur un tronc… Une maison-unité, habitée par le moi (l’émotion) et par le soi (la spiritualité). Elle réunit les deux œuvres « Poème sauvage - le ciel à l’extérieur» et « Silence - le ciel à l’intérieur ». Le « silence » est au cœur de la maison et le « poème sauvage » plus à l’extérieur. Leurs damiers sont à leur image…L’un construit, équilibré, pacifié, l’autre encore désordonné, confus, aspirant à l’élévation. La maison est légère et pourrait tourner sur elle-même dans une spirale ascendante, reliant la terre et le ciel. Le tronc d’arbre incarne le lien qui relie tout être à ses racines.

La maison derviche C’est une maison perchée sur un tronc… Une maison-unité, habitée par le moi (l’émotion) et par le soi (la spiritualité). Elle réunit les deux œuvres « Poème sauvage - le ciel à l’extérieur» et « Silence - le ciel à l’intérieur ». Le « silence » est au cœur de la maison et le « poème sauvage » plus à l’extérieur. Leurs damiers sont à leur image…L’un construit, équilibré, pacifié, l’autre encore désordonné, confus, aspirant à l’élévation. La maison est légère et pourrait tourner sur elle-même dans une spirale ascendante, reliant la terre et le ciel. Le tronc d’arbre incarne le lien qui relie tout être à ses racines.

2017
150cmx130cmx60cm
Bois de figuier,branches d’arbousier,mousse polyuréthane
fils de fer, peinture acrylique
Issu de mes « poèmes sauvages », ce cheval de braise parle de mon empathie pour les êtres vivants et pour la nature. Mais pour moi, le cheval est aussi ce passeur d’âme dont la tâche est de nous emmener sur l’autre rive. Or, le rouge vermillon qui l’habille, couleur essentiellement charnelle qui le rattache fortement à l’incarnation, le dépossède de ce rôle. De ce fait, il n’est plus ici qu’un Pégase égaré, captif d’une nature meurtrie et dévastée par l’homme.